18 octobre 2007
La fille du train
Ce retournera-t-elle lorsque le train
s'arrêtera
Puisque mon regard a trouvé son
repos
Depuis que d'une gare quelconque, elle monta
Mon coeur
chavire ce train déchire les flots.
Son visage était
creusé de deux perles noires
Sa peau n'était commune
qu'à la soie
Ces cheveux étaient comme un isoloir
Un
sanctuaire où la beauté se côtoie.
Le
train s'arrêtera bientôt, j'ai peur
Elle m'effraie
tant elle est belle
Dois-je dire un mot, serait-ce une erreur
?
Mon coeur devant elle n'est plus rebelle.
Voila elle
descend, elle me devance
Elle ne se retournera plus
Voila ce
crétin plein d'arrogance
Qui l'embrasse tant il me
tue.
Chaarar
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